Parce que les vins d'avenir ont toujours un passé

La cité de Gaillac est née en 972, mais le vignoble qui porte son nom fut implanté au premier siècle avant Jésus-Christ par les Romains.
Ce sont les moines Bénédictins de l'Abbaye Saint Michel de Gaillac qui, au Moyen Age, ont, les premiers, entrepris d'organiser le vignoble. A partir du IXème siècle, les religieux ont su élaborer, par de patientes sélections, un vin digne des bonnes tables du monde médiéval.
Le Vin de Gaillac s'épanouit à l'époque des troubadours où les consuls, en 1221, publièrent le Ban des Vendanges, preuve de la recherche et du maintien de la qualité des vins : choix des terroirs, sélection des cépages, qualité des bois de fûts, dates des vendanges. En descendant le Tarn vers la Garonne et l'Atlantique, les Gaillac sont allés conquérir très tôt la France et les pays voisins.
Henri III et Louis XIV en ont fait leurs délices. Au XVIIème siècle « les Vins du Coq », du nom de la marque à feu qui authentifiait les fûts, jouissaient d'une excellente réputation dans l'Europe entière.
Depuis la notoriété du vin de Gaillac n'a cessé de progresser en privilégiant toujours le respect de la qualité, la limitation de la production et la fidélité à son histoire :

  • 1922 : délimitation de l'Aire d'Appellation Gaillac au Journal Officiel
  • 1938 : le décret d'Appellation d'Origine Contrôlée est obtenu pour les Gaillac blancs
  • 1970 : le décret d'Appellation d'Origine Contrôlée est étendu pour les Gaillac rouges et rosés

 

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